Nous sommes partis tôt samedi matin et après avoir trouvé le bon chemin à l'aide de la madame du GPS, nous étions en route. Midi arrive et nous devons stopper à La Grave au Pelvoux car à la sortie du village, la route est fermée à cause d'une course de vélo. Pas grave... on va faire un petit pique-nique au soleil.
Nous avons choisi de manger devant la Meije. Beau spot!
On entendait les cloches des vaches dans les pâturages...
de belles fleurs des champs...
Marie, qu'est-ce que tu penses de notre spot?
Notre bagnole
Une fois de retour sur la route, on passe le col du Lautaret (2058m) sur la nationale 91 reliant Grenoble et Briançon. Auto-portrait avec le col en arrière-plan.
L'autoportrait nécessite une certaine technique...
Notre point de chute à Ailefroide, petit village de montagne, petit paradis pour la marche et l'escalade.
Steph est aux anges...
Le dimanche, direction le Pré de Madame Carle pour le départ du sentier qui nous mènera au refuge du Glacier Blanc. Marie est contente...
Les préparatifs sous le soleil déjà très fort...
Le refuge du Pré de Madame Carle avec sa terrasse qui nous accueillera en fin de journée...
Le torrent qui vient du glacier... on aura à le traverser plusieurs fois... sur un pont de bois, de rochers, de neige (qui s'effondrera après notre passage...), sur des roches à demie-submergées...
La vue du Pré depuis la moitié du parcours avant d'arriver au glacier...
Malgré les neiges éternelles juste à côté, il y a pleins de belles fleurs en montagne! celles-ci sont de la même couleur que le ciel...
Il nous faut grimper un peu pour atteindre le sentier qui mène au refuge.
Le voici ce fameux refuge du Glacier Blanc... en pierre avec ses panneaux solaires, il tombe bien dans nos goûts!
Quelle belle vue... Je ne parle pas du paysage là!!!!
Un homme face à la montagne...
C'est déjà l'heure de redescendre. Nous ne pouvons pas aller marcher sur le glacier car nous n'avons pas de crampons et il reste beaucoup de neige rendant le chemin sur les rochers près du glacier impratiquables. Ce sera pour une autre fois. Décidément, ça nous prend des crampons de marche.
Au loin, on voit ceux qui sont redescendus avant nous...